Ce sera ma vie parfaite
Camille de Villeneuve
Résumé :
La dernière journée d’une vie peut-elle en révéler le sens ?
En
ce matin de printemps, Victor des Ulmières pressent sa mort, tandis
qu’autour du domaine rôde Serge, son jeune protégé avec lequel il s’est
battu au couteau la veille. L’imminence de la fin force Victor à une
relecture lucide de sa vie, oscillant entre passé et présent.
Lui
revient sans cesse en mémoire sa famille trop pesante : une mère tôt
disparue ; un père dont il n’a connu que le mépris ; une soeur, Aimée la
bien nommée, véritable passion de sa vie ; Vivien, un frère cadet haï…
Dans sa rumination intérieure, cet homme hanté par l’échec cherche à
reconstruire sa vérité.
Et
c’est en l’étrange compagnie de jeunes danseurs et musiciens que Victor
décide alors d’un événement qui lui donnera la possibilité de traverser
déceptions et fantasmes, de faire l’expérience d’une joie fatale. De
parachever ainsi sa vie « parfaite »…
L'auteur :
Camille de Villeneuve vit et travaille à Paris. Ce sera ma vie parfaite est son deuxième roman, après Les insomniaques qui la révéla avec succès au public.
Editions : Philippe Rey
Collection : Littérature étrangère
Collection : Littérature étrangère
Format :14,5 x 22
240 pages
240 pages
Prix :17 €
Triburbia
Karl Taro Greenfeld
Résumé :
À
Tribeca, ce célèbre quartier de Manhattan, où ont afflué jeunes bourgeois
argentés et pseudo-bohèmes, un groupe d’hommes se retrouve tous les matins pour
prendre le petit déjeuner, après avoir déposé leurs enfants à l’école chic du
coin.
L’ingénieur
du son devenu, grâce à son mariage avec une riche WASP, propriétaire de studios
d’enregistrement ; le sculpteur, géant taiseux vivant des subsides de sa femme
galeriste ; le journaliste à succès dont les Mémoires vont se révéler
entièrement truqués ; le dramaturge qui n’a écrit qu’une seule vraie pièce ; le
marionnettiste qui rêvait de révolutionner son art ; le cuisinier italien en
passe de coloniser la ville avec ses restaurants ; le producteur de cinéma qui
n’a presque rien produit, et même le gangster juif de Brooklyn qui méprise ces
goys, mais ne peut s’empêcher de les écouter disserter sur le monde comme il va
: à eux tous (sans oublier leurs épouses, souvent détentrices du vrai pouvoir),
ils forment une sorte de tribu urbaine fascinante sur laquelle Karl Taro
Greenfeld porte un regard sarcastique et amusé.
Cette
minisociété, embringuée dans une ronde à la Schnitzler, à qui trompe qui, se
disperse au bout d’un an, mais reste pour le lecteur l’irrésistible portrait
d’un New York très… new-yorkais.
L'auteur :
Conteur,
satiriste, auteur d’un livre remarqué sur l’autisme, Karl Taro Greenfeld, né à
Kobe de mère japonaise et de père américain, habite Tribeca, bien entendu, avec
sa femme et ses deux filles.
Editions : Philippe Rey
Collection : Littérature étrangère
Collection : Littérature étrangère
Format :14,5 x 22 cm
288 pages
Prix : 20 €
Moments d'un couple,
Nelly Alard
Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome bouleversé. Il vient de découvrir sans vie le corps d’Andrea, le jeune moine dont la beauté lumineuse le fascinait. Il part choisir à Carrare les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Pendant six mois, cet artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire et renommée, va vivre au rythme de la carrière, sélectionnant les meilleurs blocs, les négociants, organisant leur transport. Sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne a tôt fait de lui gagner la confiance des tailleurs de pierre. Lors de ses soirées solitaires à l’auberge, avec pour seule compagnie le petit livre de Pétrarque que lui a offert Lorenzo de Medici et la bible d’Andrea, il ne cesse d’interroger le mystère de la mort du moine, tout à son désir impétueux de capturer dans la pierre sa beauté terrestre. Au fil des jours, le sculpteur arrogant et tourmenté, que rien ne doit détourner de son œuvre, se laisse pourtant approcher : par ses compagnons les carriers, par la folie douce de Cavallino, mais aussi par Michele, un enfant de six ans dont la mère vient de mourir. La naïveté et l’affection du petit garçon feront resurgir les souvenirs les plus enfouis de Michelangelo. Parce qu’enfin il s’abandonne à ses émotions, son séjour à Carrare, au cœur d’une nature exubérante, va marquer une transformation profonde dans son œuvre. Il retrouvera désormais ceux qu’il a aimés dans la matière vive du marbre.
Editeur : Sabine Wespieser
Pages : 240
Prix : 20 euros
Format : 18 x 14 x 2 cm
Nelly Alard
Olivier est journaliste, il participe aux tâches ménagères et s'investit
à fond dans la paternité. Juliette a eu avant de se marier de nombreux
amants et occupe aujourd’hui un poste d' ingénieur dans l'informatique.
Mais lorsque Olivier apprend à sa femme qu'il a, depuis peu, une liaison,
c'est tout l'univers de Juliette qui vacille. Les risques de la vie à
deux et les glissements du désir, une critique d'un certain féminisme et
la difficulté d être un homme aujourd'hui, la violence séculaire des
hommes envers les femmes mais aussi celle de certaines femmes envers les
hommes, tels sont les thèmes très actuels abordés dans ce roman. Un
couple tel que celui de Juliette et Olivier peut-il survivre à la trahison ? Sans
concession mais non sans humour, l'auteur nous fait passer d'une plume
alerte du point de vue de Juliette à celui d Olivier, et nous entraîne
dans une fluctuation vertigineuse de situations et de sentiments qui
tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.
L'auteur :
Nelly Alard vit à Paris. Elle est également comédienne et scénariste.
Son premier roman, Le crieur de nuit (collection Blanche, 2010, Folio n°
5300) a reçu le prix Roger Nimier 2010, ainsi que le Prix National
Lions de Littérature 2011 et le Prix de soutien à la création littéraire
de la Fondation Simone et Cino Del Duca.
Editeur : Gallimard
Collection : blanche
Pages : 348
Prix : 20 euros
Format : 21 x 14 x 3 cm
Chambre 2,
Julie Bonnie
Une maternité. Chaque porte ouvre sur
l'expérience singulière d'une femme tout juste accouchée. Sensible,
vulnérable, Béatrice, qui travaille là, reçoit de plein fouet ces
moments extrêmes.
Les chambres 2 et 4 ou encore 7 et 12 ravivent son passé de danseuse nue sillonnant les routes à la lumière des projecteurs et au son des violons. Ainsi réapparaissent Gabor, Paolo et d'autres encore, compagnons d'une vie à laquelle Béatrice a renoncé pour devenir normale.
Jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter la violence du quotidien de l'hôpital.
Un hommage poignant au corps des femmes, et un regard impitoyable sur ce qu'on lui impose.
Les chambres 2 et 4 ou encore 7 et 12 ravivent son passé de danseuse nue sillonnant les routes à la lumière des projecteurs et au son des violons. Ainsi réapparaissent Gabor, Paolo et d'autres encore, compagnons d'une vie à laquelle Béatrice a renoncé pour devenir normale.
Jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter la violence du quotidien de l'hôpital.
Un hommage poignant au corps des femmes, et un regard impitoyable sur ce qu'on lui impose.
L'auteur :
Née à Tours, Julie Bonnie est auteur compositeur, chanteuse et violoniste. Elle a donné son premier concert à 14 ans. Il y a neuf ans, elle a changé de vie et commencé à travailler dans une maternité, tout en continuant à chanter. Elle compose actuellement la musique d'un spectacle de danse et publiera en octobre un livre pour enfants, aux éditions du Rouergue.
Née à Tours, Julie Bonnie est auteur compositeur, chanteuse et violoniste. Elle a donné son premier concert à 14 ans. Il y a neuf ans, elle a changé de vie et commencé à travailler dans une maternité, tout en continuant à chanter. Elle compose actuellement la musique d'un spectacle de danse et publiera en octobre un livre pour enfants, aux éditions du Rouergue.
Editeur : Belfond
Collection : littérature française
Pages : 192
Prix : 17.50
Pietra Viva,
Léonor de Recondo
Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome bouleversé. Il vient de découvrir sans vie le corps d’Andrea, le jeune moine dont la beauté lumineuse le fascinait. Il part choisir à Carrare les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Pendant six mois, cet artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire et renommée, va vivre au rythme de la carrière, sélectionnant les meilleurs blocs, les négociants, organisant leur transport. Sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne a tôt fait de lui gagner la confiance des tailleurs de pierre. Lors de ses soirées solitaires à l’auberge, avec pour seule compagnie le petit livre de Pétrarque que lui a offert Lorenzo de Medici et la bible d’Andrea, il ne cesse d’interroger le mystère de la mort du moine, tout à son désir impétueux de capturer dans la pierre sa beauté terrestre. Au fil des jours, le sculpteur arrogant et tourmenté, que rien ne doit détourner de son œuvre, se laisse pourtant approcher : par ses compagnons les carriers, par la folie douce de Cavallino, mais aussi par Michele, un enfant de six ans dont la mère vient de mourir. La naïveté et l’affection du petit garçon feront resurgir les souvenirs les plus enfouis de Michelangelo. Parce qu’enfin il s’abandonne à ses émotions, son séjour à Carrare, au cœur d’une nature exubérante, va marquer une transformation profonde dans son œuvre. Il retrouvera désormais ceux qu’il a aimés dans la matière vive du marbre.
Editeur : Sabine Wespieser
Pages : 240
Prix : 20 euros
Format : 18 x 14 x 2 cm
La deuxième vie d'Aurélien Moreau,
Tatiana Arfel
Rentrer du travail sans même se souvenir du trajet. Monter revérifier
qu'on a fermé la porte à clé. Regarder l'heure, l'après-midi est déjà
là, où est donc passé le matin ? Et le week-end dernier, on a fait quoi
déjà, rien ? Instants multiples où nous n'étions pas là. Où nous
cachions-nous alors, derrière combien de murailles, combien d'écrans,
est-ce du temps définitivement perdu, celui qui n'a pas été vécu ?
Imaginons donc. Chez Aurélien ces absences s'étendent à toute sa vie. Il
n'y est jamais, ne se souvient de rien, sauve quelques faits sur des
carnets. Pourtant du dehors, Aurélien a l'air normal. Même trop normal
pour être normal, commère-t-on parfois. Normopathe, finalement, rien ne
dépasse et des mots blancs. A moins qu'il n'y ait possibilité d'une
deuxième vie, une chance cette fois d'y arriver. A naître dans son
corps, sentir dans sa peau, à jouir, à goûter. A trouver une langue à
soi pour pouvoir raconter. Il faudra quitter son existence ancienne,
renoncer au calme film noir et blanc et muet. Risquer de tout perdre,
habitudes et tranquillité, pour ne pas expirer avant l'heure. Quitte, ou
double.
Editeur : José Corti Editions
Prix : 20 euros
Pages : 320
Format : 22 x 14 x 3 cm
Les tiroirs de Visconti,
Didier Goupil
Le portrait d'un authentique collectionneur, vivant reclus au fin fond
de la lande girondine, habité de la même passion, la folie analogue à
celle d'un Pierre Bergé - Comme lui, il décidé d'échapper au temps
humain, à la banalité de l'existence et la vulgarité du monde pour se
réfugier - se multiplier, "s'éterniser" dans l'univers des objets et des
oeuvres d'art. Des vestes Arnys, des oiseaux empaillés de la boutique
Deyrolle, une multitude d'objets et de vieilles photos de famille
chinées sur eBay. Au fils des années - à l'instar de Pierre Loti, il a
métamorphosé sa maison, créant ici une pièce néo-gothique, là une
galerie de portraits imaginaires ou un salon oriental inspiré des
intérieurs bohèmes de la fin du XlXème siècle. La vie ne vaut d'être
vécue que si on la transforme en fiction, pense-t-il, et cette maison,
"inventée de toutes pièces", est la fiction qu'il s'est choisie. Paul M
est aussi collectionneur de patronymes. Ainsi emprunte-t-il les
identités de Breitweiser, de Weiller ou du mystérieux Gaspard Ziegler.
Cet inventaire alphabétique nourrit une intrigue au suspense croissant.
Que cherche-t-il à dissimuler derrière les objets qui s'accumulent ?
Comme le réalisateur Visconti, lors du tournage du Guépard, a réclamé
que les commodes et les tiroirs soient remplis de linges et de documents
d'époque, même si on ne les voyait pas à l'écran, les armoires et les
tiroirs des secrétaires de Paul M sont pleins des objets et des
identités qu'il a choisi de revêtir.
Editeur : Editions Naïve
Prix : 17 euros
Pages : 224
Format : 19 x 15 x 1 cm
Le clown et la Geisha,
Alexandre Naos
«Je vous intrigue ? À la bonne heure. C'est déjà cela. Je n'ai pas
répondu à votre question ? Certes. Loin de moi le souhait de l'esquiver,
n'ayez crainte. Pourquoi clown, donc ? Mais, cher monsieur, n'est-ce
pas là le mystère des mutations, des métamorphoses de l'âme ? Vous ne
voyez pas de quoi je veux parler ? Allons bon. Une histoire fort
curieuse en ce qui me concerne. Et je doute que nous ayons le temps
de... Vous cherchiez justement à le tuer ? Vous m'étonnez. Bien rare, de
nos jours, d'avoir du temps à perdre. Qui plus est pour écouter de
potentiels bouffons délirer dans un bistrot enfumé quelconque. Tuer le
temps... Tâche sisyphéenne ! C'est hélas lui qui nous consume à coup
sûr, misérables créatures que nous sommes, telles ces nuées d'insectes
aveugles brûlant leurs ailes aux ampoules incandescentes d'interminables
soirs d'été où l'on étouffe.»
A. N.
Un monologue sidérant, en forme d'hommage à La Chute d'Albert Camus, et une charge contre la modernité et la décadence, servis par une écriture tranchante.
A. N.
Un monologue sidérant, en forme d'hommage à La Chute d'Albert Camus, et une charge contre la modernité et la décadence, servis par une écriture tranchante.
Editeur :Le Passeur éditeur
Prix : 17.90
Pages : 160
Format :
21 x 14 x 1 cm
Tu n'as jamais été vraiment là,
Jonathan Ames
Joe, ancien marine et ex-agent du FBI, a eu son compte de scènes de
crimes. Et ce n'est pas sa vie sentimentale ou amicale qui va lui mettre
du baume au cœur : solitaire et tourmenté, il ne se lie à personne.
Lorsqu'un homme politique de premier plan l'engage pour exfiltrer sa
fille adolescente des griffes de la prostitution, il découvre un réseau
de corruption inimaginable. Quand la seule personne à qui il tient
encore est enlevée, Joe renonce à sa promesse de ne pas faire de mal. Et
s'il y a quelqu'un qui sait tuer pour le vérité, c'est bien Joe...
Hommage à Raymond Chandler, ce roman très noir témoigne de la diversité
du talent de Jonathan Ames : surprenant, et plein de suspense.
Editeur : Joëlle Losfeld
Pages : 104
Prix :12.90
Format :
22 x 13 x 1 cm
Mon prochain,
Gaëlle Obiégly
"On se constitue par l'observation de la vie des autres. On existe dans
les creux, les vides, dans ce qui est laissé. De la même manière que je
me glisse dans les vêtements dont personne ne veut plus, je choisis des
voies insignifiantes, étrangères. Celles qui mènent à l'inconnu. Mon
Prochain est un champ d'expérience". Gaëlle Obiégly joue ici sur
plusieurs registres, entre roman picaresque, vrai-faux reportage, récit
de voyage, carnet intime et art du croquis minimaliste. A l'aune de son
héroïne délicate, fantasque, insaisissable, ce livre ne s'arpente pas
sans étonnement, sourire complice et un certain état de lévitation.
Edtiteur : Verticales
Prix : 16.90
Pages : 192
Format : 21 x 14 x 2 cm
Narcopolis,
Jeet Thayil
Ce livre est une plongée dans les bas-fonds du Mumbai (Bombay) des
années 70. Unité de lieu : la fumerie d’opium de Rashid. Unité de temps :
le début des années 70. Personnage principal : Dimple (« fossette »),
un(e) jeune eunuque prostitué(e). Personnages secondaires : les voyous,
les maquereaux, les dealers, les touristes et les junkies de toutes
sortes qui fréquentent l’établissement. Et, bien sûr, le narrateur. Les
années passent, c’est le temps des hippies, de l’héroïne et de la
cocaïne. Le narrateur parvient à s’évader de cet univers délétère.
Lorsqu’il reviendra, guéri de ses obsessions, ce sera pour constater
mélancoliquement que tous ceux qu’il avait aimés ont disparu. Narcopolis
est le Last Exit to Brooklyn de l’Inde moderne. Avec ce roman
prodigieux, Jeet Thayil s’inscrit dans la lignée des grands auteurs
(Thomas de Quincey, Baudelaire, William Burroughs) qui ont donné aux «
paradis artificiels » - mais ne s’agit-il pas plutôt, ici, de l’Enfer ? -
leurs lettres de noblesse littéraire. On pense aussi à Notre-Dame des
Fleurs de Jean Genet, ce chef d’œuvre baroque dans lequel la beauté
surgit de l’ordure. Monde inversé, sur lequel Sa Majesté l’opium règne
sans partage, et promis à la destruction. Parmi ses habitants, seuls
quelques-uns seront sauvés.
Editeur : Editions de l'Olivier
Prix : 22 euros
La femme à la clef,
Vonne van der Meer
Quelques mois après la perte de son mari, décédé d'une crise cardiaque,
Nettie décide de chercher un travail. Femme au foyer, elle n'a pas
vraiment d'expérience professionnelle à faire valoir. Elle se tourne
alors vers sa passion : la lecture. Peu à peu, elle se forge une
clientèle hétéroclite, hommes et femmes, enfants et adultes, tous à la
recherche du plaisir simple d'écouter une histoire avant de s'endormir.
Mais cette activité implique une intimité avec ses " habitués " qu'elle
n'avait pas prévue... Elle devient alors, malgré elle, confidente, amie,
conseillère. Son projet inattendu aura des retombées surprenantes qui
lui redonneront goût à la vie. On s'attache à cette femme blessée par la
vie qui, grâce aux livres, prodigue et reçoit affection et tendresse.
Il y a du Tracy Chevalier dans l'univers subtil de Vonne van der Meer et
son écriture élégante et douce.
Editeur : EHO
Prix : 18 euros
Format : 21 x 14 x 2 cm
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci :)